La perspective d’une réorientation -lourde de conséquences – de la politique monétaire américaine, marquée par un retrait progressif de la liquidité généreusement offerte pendant des années, soulève de nombreuses questions concernant les valorisations. Les investisseurs vont connaître une année difficile au cours de laquelle ils devront identifier des actifs adaptés à un nouveau régime d’inflation.
Dans notre podcast Talking heads, Daniel Morris, responsable de la stratégie de marché, et Andrew Craig, co-responsable du centre Investment Insights, s’intéressent aux perspectives des obligations, aux promesses de la dette (et des devises) des pays émergents, aux perspectives des obligations d’entreprise et aux segments d’investissement les plus intéressants à long terme, une fois que les valorisations des actions se seront normalisées.
Notre publication « Market Weekly », désormais rebaptisée Talking heads, propose aux investisseurs des éclairages précieux sur des sujets qui les intéressent vraiment, une analyse du monde et des marchés sous l’angle de la durabilité ainsi que des entretiens captivants avec des experts en investissement.
Veuillez noter que les articles peuvent contenir des termes techniques. Pour cette raison, ils peuvent ne pas convenir aux lecteurs qui n'ont pas d'expérience professionnelle en matière d'investissement.
Les opinions exprimées ici sont celles de l’auteur à la date de la publication, sont fondées sur les informations disponibles et sont susceptibles de changer sans préavis. Les équipes de gestion de portefeuille peuvent avoir des opinions différentes et prendre des décisions d’investissement différentes pour différents clients. Le présent document ne constitue pas un conseil en investissement.
La valeur des investissements et les revenus qu’ils génèrent peuvent évoluer à la baisse comme à la hausse, et les investisseurs sont susceptibles de ne pas récupérer leur investissement initial. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.
Les investissements sur les marchés émergents ou dans des secteurs spécialisés ou restreints sont susceptibles d'afficher une volatilité supérieure à la moyenne en raison d'un haut degré de concentration, d'incertitudes accrues résultant de la moindre quantité d'informations disponibles, de la moindre liquidité ou d'une plus grande sensibilité aux changements des conditions de marché (conditions sociales, politiques et économiques). Pour cette raison, les services de transactions de portefeuille, de liquidation et de conservation pour le compte de fonds investis sur les marchés émergents peuvent être plus risqués.
Les actifs privés sont des opportunités d'investissement qui sont absentes des marchés publics, comme les bourses de valeurs mobilières. Ils permettent aux investisseurs de s’exposer de manière directe à des thèmes d'investissement à long terme et donnent accès à des secteurs ou industries spécialisés, comme les infrastructures, l'immobilier, le private equity et d'autres solutions alternatives difficilement accessibles via des moyens traditionnels. Les actifs privés doivent toutefois faire l’objet d'une approche rigoureuse en raison d'un niveau d'investissement minimum souvent élevé, d’une complexité accrue et d'une forte illiquidité.